Plusieurs groupes de chercheurs travaillent sur l’utilisation de filaments d’ADN comme support de stockage.
Cette technique permettrait non seulement d'assurer le stockage durant des centaines de milliers voire millions d’années, mais également de disposer de capacités très importantes : 16 zettaoctet, soit la moitié des données générées par l'humanité en 2018, logeraient dans un dé de 16 centimètres cube.