La « loi de Bonaparte » ne fait pas mention de l’obligation de donner « un prénom chrétien » à son enfant.
En effet, la loi de 1803 (loi du 11 germinal de l’an XI) imposait de donner « des noms en usage dans les différents calendriers et ceux des personnages connus de l’histoire ancienne ».
Cette loi promulguée par Napoléon Bonaparte visait surtout à empêcher les français de donner des prénoms de grands révolutionnaires à leur progéniture.