Il a existé parmi les samouraïs, au moins à partir du XVe et jusqu'au XIXe siècle, une pratique homosexuelle pédérastique appelée "shudō de wakashudō" ("la voie des hommes"). Le shudō était considéré comme bénéfique pour le garçon au contraire de l'amour pour une femme, qui le féminiserait.
Tenu en haute estime, le shudō était encouragé chez les samouraïs, et devint également populaire chez les classes moyennes. Par ses aspects pédagogiques, militaires et aristocratiques, le shudō s'apparente fortement à la pédérastie grecque.